Compétition de hand ball minimes garçons.
Mercredi 20/11 au collège de Miribel.
Départ du collège à 12h40
Retour au collège 16h45
Nov 19
Compétition de hand ball minimes garçons.
Mercredi 20/11 au collège de Miribel.
Départ du collège à 12h40
Retour au collège 16h45
Nov 18
Nov 07
Nov 03
Oct 20
Le 11 octobre nous avons visité un centre de recherche européen de RMN (résonance magnétique nucléaire) à très haut champs, nous avons d’abord eu des explications sur le principe de la résonance magnétique nucléaire, nous avons ensuite vu des expériences nous permettant de mieux comprendre le principe puis nous avons pu visiter l’impressionnante salle avec toutes les machines de RMN.
Le principe de la RMN :
Il s’agit d’une méthode d’analyse de la matière qui utilise les propriétés magnétiques de certains noyaux d’atomes. Ce principe est utilisé en médecine avec l’IRM. Les machines sont constituées d’aimants très puissants, et d’un supraconducteur. Pour avoir les propriétés de supraconducteur il faut refroidir les matériaux à très basse température avec de l’hélium liquide (-269°C) que l’ on l’entoure d’azote liquide (-196°C) pour que l’hélium liquide ne se réchauffe pas trop vite.
Un supraconducteur est un matériau refroidit à très basse température qui permet de conduire parfaitement un courant électrique, sans résistance, et donc sans perte d’énergie.
Les expériences : Nous avons vu une expérience incroyable sur les supraconducteurs. Un aimant pouvait faire léviter un matériau refroidit à l’azote liquide qui devenait un supraconducteur. Le champs magnétique de l’aimant est repoussé par le supraconducteur. Nous avons appris qu’il y a un train au Japon qui fonctionne comme ça.
Nous avons vu aussi les effets de l’azote liquide, la fleur devenait cassante :
Grâce à des expériences nous avons compris la relation entre courant électrique et champs magnétique et le principe de la RMN qui oriente les noyaux des atomes dans un champs magnétique :
La visite : Pour la visite nous avons du laisser à l’entrée tous nos objets métalliques et électroniques car il y a des champs magnétiques très forts dans la salle. Si on s’approche trop près des machines avec un objet métallique dans la poche on pouvait rester coller. Il y avait des lignes blanches à ne pas dépasser.
Nous avons même eu un goûter après la visite et les scientifiques ont répondu à toutes nos nombreuses questions.
La classe de 2C41
Oct 18
Le 11 octobre pour la fête de la science nous avons été au village des sciences à l’IUT sur le campus de La Doua à Villeurbanne.
Nous avons été accueillis par des étudiants de l’IUT et nous avons pu participer à différents ateliers tous extrêmement intéressants, nous avons appris plein de choses :
– Atelier sur la vibration : Nous avons modifié la fréquence sur les générateurs pour obtenir des figures de vibration avec du sable coloré. Dans un tube, les billes en polystyrène qui se mettaient à vibrer à certaines fréquences en formant des murs. Les scientifiques ne comprennent pas encore complètement comment se forme ces murs de billes, ils font des recherches dessus.
– Atelier sur les UV : Nous avons compris les effets des UV et appris à faire des mesures sur les UV
– Atelier sur la construction d’une éolienne et un atelier de programmation :
– Atelier sur la polarisation de la lumière : Nous avons découvert ce qu’est la polarisation de la lumière, nous avons réalisé des dessins avec du scotch et nous les avons observé avec des lunettes de soleil polarisés. Nous avons compris le fonctionnement des lunettes 3D.
– Atelier sur les boules plasma : Nous avons compris le fonctionnement d’une boule plasma.
Une boule plasma est une sphère qui contient des électrons et un gaz qui les fait apparaître. Quand on approche son doigt les charges + de ton doigt attirent les charges – des électrons et les attirent vers ton doigt. |
Quand on rapproche un néon d’une boule plasma, le néon s’allume. |
– Nous avons réalisé une enquête de police scientifique, c’était génial !
Nous avons aussi assisté à un spectacle de chimie, avec des expériences spectaculaires :
Le volcan : la fumée est réalisée par une réaction chimique entre le permanganate de potassium et de l’eau oxygénée. |
Grosse explosion avec de l’eau et de l’azote liquide. |
Un lancement de fusée avec du vinaigre et du bicarbonate |
Nous avons même pu chanter et danser avec les étudiants sur une chanson et une chorégraphie qu’ils ont inventé « Vive la chimie » ! |
La classe 2C41
Oct 18
Oct 17
Le mardi 15 octobre, la compagnie L’Ineffable théâtre est venue présenter aux élèves de 6e un spectacle autour de contes bien connus, rendus célèbres par Perrault. Seule sur scène, la comédienne Nazly Tovar a interprété le Petit Chaperon rouge, Cendrillon, Peau d’Âne, La Belle au bois dormant et La Barbe bleue, dans une narration unique alternant les scènes, les personnages et les espaces.
Déroutante au début, la narration s’est appuyée sur un objet spécifique à chaque conte afin de reconnaître la progression du récit. Des jeux de lumières, de musique, et des passages dansés, ont suscité une belle attention et adhésion des élèves à cette mise en scène.
Le metteur en scène Benjamin Forel s’est appuyé sur les versions antérieures de ces contes, un matériau européen transmis de bouche à oreilles, pour nous transmettre la dimension sombre, parfois violente et dérangeante, de ces histoires qui ont souvent valeur de fable et donc d’avertissement.
Les élèves ont intégré les différents niveaux de lecture des contes, ont relevé le défi de la compréhension de ces récits parfois éloignés de ceux de Perrault, et en même temps compris l’intérêt du travail de comparaison.
Le spectacle de 70 minutes, joué le matin et l’après-midi devant 7 groupes de 6e en tout, a été suivi d’un échange avec la comédienne et permis aussi de sortir du sujet pour interroger le métier de comédien.
M. de Fenoyl
Oct 17
Le 8 octobre, nous sommes allés à l’INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement à Villeurbanne.
Nous avons pu faire 4 ateliers :
– Un quiz sur le traitement de l’eau et les stations d’épuration.
– Nous avons participé à un atelier dans un couloir hydraulique. Nous avons d’abord fait plusieurs mesures et des calculs de débit avec un tuyau, une balance et un chronomètre, puis nous sommes allés dans un grand couloir hydraulique. Nous avons jeté un objet flottant dans l’eau et avons observé en combien de temps il parcourait 10 m.
– Un atelier pour nous expliquer comment les pesticides et les polluants arrivent dans l’eau, comment on les repère et comment on évite que l’eau ne soit trop polluée.
– Lors du dernier atelier, nous avons vu comment on analyse les polluants et nous avons réalisé une chromatographie.
Ce que nous avons appris :
Les élèves de 6ème5
Oct 15
Le 7 octobre, pour la Fête de la Science, Lucie POUCLET, qui est doctorante, est venue nous parler de ses recherches et de son travail sur l’évolution de l’image de la sorcière à travers le temps. Elle a commencé par nous demander notre point de vue sur les sorcières. Nous avons remarqué que nous imaginions les sorciers différemment des sorcières : c’était toujours négatif pour les sorcières, alors que les sorciers étaient parfois vus comme forts, puissants et sages.
Elle nous a montré des extraits de films pour voir comment les sorcières étaient représentées (apparence, psychologie, animal de compagnie, etc.). On a remarqué que cela a beaucoup évolué au fil du temps.
Avant, on représentait toujours les sorcières comme vieilles, moches et méchantes, alors que maintenant, elles peuvent être parfois belles, courageuses, fortes et intelligentes. L’image de la sorcière, comme celle des femmes, a changé au cours du temps, et cela se voit aussi grâce à l’analyse des films selon les époques.
Nous avons appris aussi qu’au début de la Renaissance, on brûlait des femmes innocentes partout en Europe car on pensait qu’elles étaient des sorcières. Elles étaient torturées pour qu’elles dénoncent d’autres sorcières (innocentes aussi). Au final, 200 000 personnes ont été accusées et 80 000 ont été tuées pour rien. Nous avons beaucoup aimé analyser les extraits et parler du sexisme.
À la fin, elle nous a redemandé notre avis sur les sorcières et nos idées avaient changé.
Les 5ème 2